Four seasons
Tu as posé les pattes sur Four Seasons !

Tu te retrouves dans un monde étrange, peuplé d'animaux désignés comme dangereux...Quel camp choisiras-tu ?
Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
Viens incarner TON personnage : loup ou chien pour les Survivants, et bien d’autres (félins, ours,...) pour les Insulaires et fais le vivre à travers des aventures nommées RP !

A très bientôt !
Four seasons
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Mais ne t'inquiètes pas : ils sont civilisés et ne te mordront pas au moindre mouvement ! (encore que...)
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Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !


 
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Électre ϟ petite sorcière automnale
V'hallys
Gardien
V'hallys
Espèce : Loup/louve
PUF * : Myosotis
Féminin
Messages : 52
Date d'inscription : 09/11/2018
Âge : 23
Ta localisation réelle : Rennes

Identité du personnage
Spécialité:
Total des PNs: 0 PN
Ven 3 Mai 2019 - 21:39


⋆ Nom : Électre
⋆ Âge : louveteau
⋆ Sexe : femelle
⋆ Clan : Automne
⋆ Rang : non défini
⋆ Orientation sexuelle : bisexuelle
⋆ Famille :
⤷ fille d'Artemisia et Daphné
⤷ sœur cadette de Damoclès
⤷ cousine éloignée de Keridwen

⋆ POUVOIRS ⋆


⋆ La sorcière
Électre est dotée d'un don dont elle a encore bien peu conscience. Il suffit de se référer à son histoire pour comprendre pourquoi son inconscient fait tout pour reléguer ce pouvoir au fin fond de son esprit : il a été source de grands malheurs pour la deuxième fille de Daphné et Artemisia. Fondamentalement, il n'est pourtant pas si néfaste ; mais Électre n'a jamais eu la possibilité d'apprendre à le maîtriser. Elle l'a probablement hérité, par un quelconque transfert de magie, de la sorcière à qui ses mères ont rendu visite pour la concevoir. Électre peut en effet canaliser ses pouvoirs à travers des potions qu'elle conçoit en général dans des marmites en cuivre, bien que tout contenant fasse l'affaire. Les potions peuvent avoir des visées variées : la toute première jamais conçue par l'enfant eut pour malheureux effet de l'éloigner définitivement, semble-t-il, de sa famille.
Alors, d'où vient l'efficacité – prouvée – de ces potions et ensorcellements ? Leur source réside dans le pouvoir d'influence d'Électre ; mais elle est n'est pas capable, et ne le sera jamais, de l'utiliser sans catalyseur. Électre est en fait dotée d’une forte ascendance sur ce qui l’entoure, et s’est ainsi surprise à voir certains de ses vœux et intuitions réalisés sans qu’elle n’ait rien fait pour cela. La potion est donc une représentation matérielle du souhait d’Électre, de la direction qu’elle – et éventuellement d’autres, selon qu’elle offre ses services – attend du rituel. Hypothétiquement, elle pourrait faire à peu près n’importe quel vœu – mais rien n’engage à la réalisation dudit vœu. Ses souhaits sont bien plus probants lorsqu’ils sont réalistes – maladie, échec, rupture amoureuse… – que lorsqu’ils sortent d’un imaginaire un peu trop développé. Électre ne peut ainsi aller jusqu'à la mort ou la résurrection – il est des choses avec lesquelles on ne joue pas. En outre, elle est censée avoir un élément de la personne visée ou concernée par l’envoûtement, lorsque ce n’est pas elle-même (cheveux, poils, griffes…) ainsi que son nom – la catalyse du vœu est ainsi plus effective.
La catalyse peut ainsi être facilitée de diverses manières, notamment par des rites particuliers, l’usage d’ingrédients (végétaux, animaux, minéraux…) appropriés… Il est à noter que le don d’Électre n’est qu’influence, le psychisme des personnes concernées est primordial : si l’on n’y croit pas, cela ne marchera pas.

Une fois l'art des potions maîtrisé, elle pourra apprendre d'autres arts, tels que la confection de poupées vaudou, de wangas... Des catalyseurs différents, en somme.

INRP : Les chances d'Électre de réussir une potion se jouent au dé de chance et sont relativement faibles, bien qu’elles aillent croissant avec son âge. Enfant, elles sont de 1/6 ; elle va ensuite peu à peu découvrir des combines efficaces : en fonction des résultats aux dés pour tel ou tel ingrédient et rite, elle pourra dresser une liste de ce qui marche et ne marche pas, augmentant ses chances de réussite au fur et à mesure de son apprentissage. Sa maîtrise ne sera jamais absolue et dépendra toujours grandement du but de la potion : pour une potion mineure, on estime les chances de réussite à 4/6 ou 5/6, pour une majeure à 2/6. La vitesse de réalisation du vœu, lorsqu’il est réussi, dépend du bon vouloir des joueurs mais doit respecter un certain délai pour les plus lourds d’entre eux. Il faut également noter que pour les vœux qui réussissent inrp, et qui concernent un autre personnage, son joueur doit obligatoirement avoir donné son accord préalable pour que le souhait soit effectif.



⋆ Les couleurs de l'automne
Les mamans d’Électre, tout comme sa grande sœur Damoclès, avaient toutes des pouvoirs en rapport avec les feuilles – tradition familiale oblige, la petite dernière en a également hérité. Ce don purement décoratif lui permet de peindre les feuillages qui l’entourent au gré de ses envies, durant le temps où elle est présente, les effets s’estompant rapidement après son départ. C'est joli, mais ça ne sert pas à grand-chose.

⋆ PHYSIQUE ⋆


Référence & image louveteau

Artemisia était dotée d’un charme plutôt démoniaque, tandis que Daphné était toute en délicatesse : Électre est la digne fille de ses mamans, union parfaite entre grâce et indiscipline. Son poil d’une douceur étonnante est d’un bleu profond qui rappelle les marquages de Daphné, et elle a hérité des longues tignasses de ses mères. La couleur de sa chevelure pourrait trancher dans la famille si Damoclès n’avait pas elle-même hérité de cette même crinière de lion – quoique celle d’Électre n’était pas du tout de cette teinte à la naissance. Ses cheveux étaient bleus, à l’origine, comme ceux de Daphné ; ils ont peu à peu viré au rouge flamboyant, conservant simplement quelques mèches azur. Ses yeux d’un vert doux relèvent son physique somme toute assez sombre, même s’il est émaillé de lueurs cobalt. Sa silhouette enfantine est chétive, et ses cheveux déjà longs pour son âge lui donnent parfois une allure débraillée, c’est pourquoi elle en prend grand soin. Ce qu’Électre préfère chez elle, c’est le surprenant marquage qui orne son flanc droit, qui semble presque luire certaines nuits, à la faveur de la lumière de la lune. La petite ne possède aucun bijou mais rêve parfois d’avoir des anneaux aux oreilles, comme sa mère Artemisia, qui lui avait promis de lui en offrir à son adolescence – ce qu’elle n’aurait donc pas l’occasion de faire, ce qui attriste grandement Électre lorsqu’elle y songe.

⋆ CARACTÈRE ⋆



Électre a toujours été une petite boule de douceur, très semblable à sa mère Daphné. Artemisia se plaisait à voir en elle le portrait craché de celle qu’elle aimait – mais sa cadette a toutefois aussi hérité d’elle en certains aspects cruciaux. Malgré une timidité maladive, quasiment une phobie sociale, Électre a au fond d’elle une force de caractère incroyable, qui la pousse à se relever constamment et à combattre ces peurs paralysantes qui cherchent à prendre le dessus. Cette force, cette confiance en elle, elle la doit grandement à ses mamans qui l’ont toujours nourrie d’amour, lui ont toujours répété qu’elle était forte et courageuse. Elle la doit aussi à elle-même, car Électre est naturellement d’une combativité rare ; elle se sait, malgré son jeune âge, fragile et timide, mais sait aussi qu’elle se doit d’être meilleure, de faire plus, de se dépasser soi. Alors ces frayeurs, ces terreurs parfois, qui peuvent la mener jusqu’à de véritables crises de panique, elle les barricade du mieux qu’elle peut, telle une brave petite soldate.
Lorsqu’elle était encore avec sa famille, Électre se montrait bien moins combative et acharnée. Elle se laissait facilement aller au confort de se réfugier auprès de ses mères, n’hésitant pas à abuser parfois de ses larmes pour quémander une surprotection. La nuit où son don l’a malencontreusement transportée sur Four Seasons a toutefois constitué un tournant : l’instinct de survie d’Électre a pris le dessus en même temps qu’elle était recueillie par les Automnaux. La louveteau demeure d’un naturel très anxieux mais, cela, elle ne le changera jamais – en revanche, son petit cœur a compris qu’elle peut essayer de contrôler ces peurs, de leur interdire de prendre le dessus. En fait, elle est persuadée de devoir faire mieux, notamment parce qu’elle croit que c’est en partie de sa faute si ses mères l’ont "abandonnée" ; alors elle cherche à se montrer forte, courageuse, pour devenir meilleure et digne de revoir ses chères mamans. C’est pourquoi vous ne la verrez presque jamais se laisser aller à des larmes ; Électre ne pleure plus, tout comme elle ne laisse plus transparaître d’émotions négatives. Elle est, au quotidien, d’une joie de vivre inégalée ; souriante et heureuse, et ce n’est pas vraiment une couverture ou un mensonge.
L’épreuve qu’elle a vécue, alors qu’elle était encore trop jeune pour la comprendre, et qu’elle l’est encore, l’a forgée ; comme un soldat ayant vécu l’expérience du feu, et alors qu’aucun enfant ne devrait avoir connu ce genre de peine terrible, Électre a souffert – et connu de vraies douleurs, de celles qui vous trouent le cœur et le ventre et tout le corps, vous coupent la respiration et font de la douleur du cœur une douleur physique. De la même manière que l’on dit que les gens les plus gentils sont ceux qui ont le plus souffert dans leur vie, l’histoire d’Électre, a accentué sa bienveillance, sa gentillesse et sa joie de vivre. Alors même que les dangers de la dépression auraient pu avaler toute entière cette petite boule d’innocence, sa pugnacité lui a permis de nourrir le feu intérieur qui brûlait déjà en elle depuis sa naissance, pour combattre ses démons intérieurs. Mais elle tire énormément de culpabilité de ce traumatisme, tout comme une certaine colère malgré son amour inébranlable pour Artemisia et Daphné. Cette culpabilité fait que la petite est souvent en quête de validation par l’extérieur, ce qui la pousse à avoir un comportement irréprochable, et qu’elle a beaucoup de mal à transgresser les règles. La petite louve rousse est donc charmante et très aimée de son clan adoptif ; serviable, heureuse de vivre et également reconnaissante à ces loups de l’avoir accueillie. Néanmoins, la blessure reste vive dans le cœur d’Électre, qui se demandera toute sa vie pourquoi et comment ses mamans ont pu l’abandonner.

⋆ HISTOIRE ⋆



L’histoire telle qu’elle est contée par Damoclès est la suivante...
On se rappelle encore d'elles en Automne : l'une d'elle était fuyante, timide, mais dotée d'un caractère assez mauvais quand on essayait de l'approcher. L'autre était clairement démoniaque, et nombreux sont ceux qui frissonnent en mentionnant son nom ou son souvenir. Elles n'avaient presque rien en commun, mais le destin les a rapprochées, les a unies. Seulement chargées de leur amour, elles fuirent Four Seasons, leurs chaînes, leurs doutes, vers une existence où elles pourraient vivre en paix, ensemble. À la vie de clan a succédé une vie de nomade, de balades en escapades dans des paysages plus somptueux les uns que les autres. Certaines terres étaient plus inhospitalières que d'autres, certains autochtones très peu accueillants, mais rien ne pouvait les arrêter. L'entraide était leur force, et ensemble elles parcoururent le monde au gré de leurs envies. Et une de leur plus folle envie, c'était d'agrandir leur famille... De cette union hors des sentiers battus naquit un jour un miracle, fruit de maintes prières et de la visite à une sorcière plutôt douée dans son art. L’histoire de Damoclès démarra à cet instant, petite boule d’énergie et d’indépendance, qui quitta le nid familial dans son adolescence, avide de nouveaux horizons.

Alors que celle-ci écrivait sa propre histoire, celle de ses mamans ne s’arrêta pas pour autant : un second miracle vit le jour grâce à la même sorcière qui avait œuvré à la venue au monde de Damoclès.

Ainsi naquit Électre, petite boule de douceur qui vola le cœur de ses mamans en un battement de cils. La vie à ses côtés était moins mouvementée qu’elle ne l’avait été avec sa grande sœur : Électre était d’un naturel plus tendre et conciliant que son aînée, et si petite, si douce ! Elle était timide, parfois même timorée, bien moins aventureuse ; elle aimait les quotidiens bien huilés et détestait se faire remarquer, sortir de l’ordinaire. Quasiment phobique socialement, et malgré les rares rencontres, elle aimait plus que tout la chaleur du cocon familial.

Mais la routine et la tendresse furent brisées lors d’un crépuscule de printemps. Une dispute, comme il en survient parfois, avait retenti dans la grotte qui abritait la petite famille. Artemisia avait eu des mots durs et emprunts de sévérité, comme souvent, malgré son amour pour sa fille ; Daphné avait, pour une fois, abandonné l’idée de temporiser, jugeant sans doute que certaines leçons étaient nécessaires. La si sensible Électre avait fui vers le ruisseau voisin, désireuse de solitude pour panser son ego vexé ; jouant dans la terre, préparant des ragouts pour ses amis les salamandres et les criquets, mélangeant des herbes et récitant des formules étranges. Une magie dont elle n’avait même pas idée avait alors opéré, lorsqu’elle pestait contre ses vilaines mamans, souhaitant plus que tout être emportée loin d’elles. Après avoir pleuré des larmes de crocodiles au-dessus de son chaudron à soupe, elle s’était assoupie – et à son réveil, c’était un paysage très différent qui s’était offert à elle. Loin de là où la petite Électre se trouvait à présent, deux mères en détresse cherchaient leur enfant, disparue en un battement de cils, hurlant à la mort près d’un ruisseau, les criquets pleurant leur amie en chœur avec elles. Électre était introuvable.

La petite louve rousse avait ouvert les yeux au réveil de sa sieste du soir, papillonnant pour retrouver ses esprits et émerger du monde des rêves. Elle s’attendait à avoir été portée par Daphné jusque dans la tanière, après s’être endormie à l’extérieur, comme à l’accoutumée ; et à la retrouver à ses côtés, réchauffant ses flancs, tandis qu’Artemisia dépeçait un lapin. Elle ne comprit pas pourquoi elle avait froid aux flancs, et ne comprit pas cette étrange douleur à l’estomac qu’elle n’avait jamais ressentie avant. Pourquoi ses mamans l’avaient-elle abandonnée ici ? Avait-elle fait quelque chose de mal ? Elle se souvint de la dispute, sa gorge nouée laissant bientôt couler un flot ininterrompu de larmes ; pourquoi avait-elle été si bête ? Évidemment que ses mamans avaient eu raison, quel qu’ait pu être le sujet de la querelle ; et elle avait été bien sotte de se croire pertinente. Mais elle regrettait, oh elle regrettait si fort : pourquoi maman Arte et maman Daph ne venaient-elles pas malgré ses pleurs ? Elle aurait bien voulu dire pardon, s’excuser comme elles le lui avaient appris, s’amender et promettre de faire mieux la prochaine fois. Mais ses mamans n’étaient pas là. N’entendaient-elles pas la détresse de leur fille, si seule au milieu de ces bois si étranges ?

Petite boule frigorifiée, recroquevillée sur elle-même, Électre se sentait perdue dans ce lieu inhospitalier. Sa bulle d’univers n’était jusqu’alors faite que de ses mères et elle, et voilà qu’elle volait en éclat. À quoi bon vivre dans un monde où ses seules sources de chaleur et d’amour avaient décidé de l’abandonner ?

Mais une petite étincelle de chaleur avait été attirée par les pleurs enfantins qui s’étaient élevés, des heures durant, dans la Forêt orientale. Une louve tout aussi rousse que la petite Électre trouva celle-ci blottie dans un tronc d’arbre creux, froide et amaigrie. Sansa ramena la petite en Automne, la nourrit et la réchauffa. Électre reprit, bon gré mal gré, des forces et de la vitalité. Ses cheveux retrouvèrent bientôt leur éclat, sa voix se fit de nouveau entendre et son sourire se mit à refleurir par moments. Mais jamais Électre n’avait oublié la froide nuit où ses mamans l’avaient abandonnée, par sa faute.

⋆ DERRIÈRE L'ÉCRAN ⋆


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