Nouveaux lieux, nouveaux clans et nouvelles espèces. A vous de vivre ... Ou de survivre !

Nom : Ondolindë
Prononciation : On-do-line-dé
Âge : Une adolescente (environ 7 mois)
Clan : Née dans le clan de l'été
Rang : Apprentie veilleur
Sexe : Femelle
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, bien qu'elle ne l'ai pas encore découvert.

Code du règlement : Validés par Avy !

On peut facilement dire que Ondolindë est plus tournée vers autrui qu'elle-même. Le premier argument que l'on pourrait apporter face à cette déclaration est son attitude attentionnée, notamment envers sa mère. Cette dernière n'étant plus toute jeune, elle a parfois besoin de sa fille pour quelques tâches bien qu'elle ne l'avouerait jamais. Alors, malgré la sévérité de son éducation, l'adolescente fait tout pour l'aider tout en taisant tout commentaire sur cela, faisant preuve de discrétion et de tolérance. Mais cela n'est pas une attitude réservée à la grande louve blanche ailée : l'apprentie, malgré ses réserves et sa méfiance qui l'empêchent de juger un loup sans le connaître ou de livrer ses pensées au premier venu, est capable d'aider les autres sans réelle distinction. Bien entendu, la prudence est sa première priorité face à un inconnu qui ne vient pas du clan de l'été, mais si le danger est grand, elle ne pourra pas s'empêcher d'aller apporter son aide. Cela est pareille quand il s'agit d'une discussion demandant des conseils : tout en gardant son expérience et ses pensées profondes pour elle, et en restant sur ses gardes, elle pourrait donner sa vision des choses et ce qu'elle pourrait être susceptible de faire dans la situation de son interlocuteur. Elle gardera certainement des doutes quant à l'aide qu'elle aura apportée mais n'aura pas de regret.

Ainsi, tout cela la rend très souvent très sympathique, donnant envie de se confier à elle et à mieux la connaître. Enfin, pour la plupart des personnes qui entendent parler d'elle comme une louve à l'oreille attentive et compréhensive. Malheureusement, ils peuvent être très rapidement rebutés quand survient un conflit : totalement butée, Ondolindë a beaucoup de difficultés à lâcher le morceau quand elle est certaine d'avoir raison. Ce qui est pratiquement toujours le cas. De plus, quand vient la colère, elle n'est pas du genre à prendre des pincettes pour dire ce qu'elle pense même si elle prend garde à ce qu'elle dit. Cela ne plaît pas, ou très peu, quoi qu'on dise. Comment cela pourrait-il en être autrement ?

Ondolindë aime énormément se rendre utile à sa meute, que ce soit en chassant (sauf le gros gibier qui lui fait encore un peu peur) ou en faisant part de son avis quand on le lui demande. Son objectif principal est d'ailleurs de le protéger quoi qu'il lui en coûte, même si pour cela il lui faut user de méthodes peu recommandables. Les risques qu'elle prendrait alors lui font peur, mais elle est persuadée de préférer cela à voir son clan tomber dans une ombre période. En attendant, elle se libère l'esprit en se laissant aller à des élans de paresse qui lui apportent dores et déjà son lot d'ennuis avec sa mère ou d'autres loups qui pourraient avoir en elle de grands espoirs. La responsabilité que cela lui donne ne lui sied guère tant elle aime foncer sans réfléchir dans certaines situations. Il serait d'ailleurs fort peu avisé de la placer à la tête d'une partie de chasse. Bien que cela lui soit difficile à admettre, elle est la première à l'avouer.

Dans tout cela, la jeune louve connaît quelques contradictions et autres craintes qui guident ses pas dans la vie. On peu déjà noter son horreur d'avoir des ennuis. Elle est la première à se mettre dans le pétrin par sa maladresse ou son caractère impulsif, mais il n'en reste pas moins qu'elle le regrette amèrement par la suite. Pourquoi ? Parce qu'elle n'aime pas la colère ou la tristesse des autres, surtout quand il s'agit de sa faute.
Ensuite, on pourrait parler de ce qu'elle ne tolère pas quand cela nuit à autrui : l'injustice, la trahison et, plus encore, la guerre. Elle est d'ailleurs ravie de se trouver dans un clan qui ne soit pas fâché ou ayant une aversion contre un autre clan puisque cela les rend assez neutre, même si elle sait bien qu'ils ne sont pas à l'abri de conflits plus ou moins graves.
Enfin, l'hiver est une saison qu'elle ne parvient pas à apprécier. Cela n'a rien à voir avec le clan qui en porte le nom puisqu'elle n'aime tout simplement pas le froid que cela apporte. Etant légèrement plus fragile que la moyenne, Ondolindë a tendance à tomber rapidement malade quand viennent les mauvais jours.

Ainsi, cette jeune louve pense qu'elle n’est certainement pas le meilleur membre de la meute et ne le sera jamais. Néanmoins, même si elle n’aime pas l’avouer d’elle-même, elle apprécie à être une personnalité qui vient en aide à autrui quelle que soit la situation. C’est juste plus difficile d’être neutre dans un conflit duquel elle est extérieur.

Traits de caractère principaux : Attentionnée, dévouée à son clan, discrète, fidèle, impulsive, maladroite, modeste,  ouverte d'esprit, pacifique, paresseuse, renfermée, têtue, tolérante et empathique.

Ondolindë a toujours été un peu plus petite que la moyenne. Ainsi, à environ sept mois, elle ne mesurait que soixante centimètres au garrot pour environ vingt-six kilos. Cela peut se montrer positif comme négatif, mais elle n'est pas vraiment le genre à se plaindre de ce genre de détails. D'autant plus que sa finesse est parfois utilisée comme prétexte pour dire d'elle qu'elle est assez mignonne et qu'elle deviendra sans doute aussi jolie et séduisante que sa mère.

Mis à part cela, son pelage est presque entièrement noir, petit cadeau de son père avant qu'il ne reparte voyager. Son poil, bien que doux, n'est pas brillant au soleil bien qu'il connaisse quelques reflets bleutés. Cette couleur se fait plus présente sur sa mèche qui pousse entre les deux oreilles pour tomber sur ses yeux, ainsi que le bout de sa queue touffue. Sur son dos, une paire d'ailes blanches et pleines de plumes peuvent s'ouvrir pour lui donner l'occasion de s'envoler, ce qu'elle fait que très peu souvent puisqu'elle préfère avoir ses quatre pattes sur la terre ferme. Enfin, habillant son museau allongé terminé par un petit nez noir qui se fond joliment dans la noirceur qui la caractérise, ses yeux dorés sont illuminés par la gentillesse et sa fidélité à son clan qui l'animent.

Malgré la féminité flagrante de son corps, ses manières et sa façon de foncer quand elle le peut lui donnent une allure légèrement bourrue. Seuls ses moments de "pause" viennent changer la donne, rendant le regard d'autrui changeant sur cette jeune louve pourtant très jolie.

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* Voir le futur d'autrui : en regardant quelqu’un dans les yeux, Ondolindë peut voir une petite partie du futur de cette personne. Les images qui lui parviennent ne sont jamais claires puisqu’il s’agit souvent de symboles ou de lieux, visages, flous donc sans détails. De plus, pour la jeune louve cela n’a pas beaucoup de sens puisque cela ne la concerne jamais. L’avenir peut également lui venir à travers ses rêves, mais dans ce cas cela concerne seulement des personnes qu’elle connaît.

* Irradier de la chaleur : pour cela, Ondolindë doit avoir absorbé cette dernière. Sa capacité fonctionne donc très bien en été et lors des journée chaudes de printemps, mais est inutile en hiver ou autres saisons froides. Ainsi, quand elle libère la chaleur absorbée, la louve n’est plus approchable dans un rayon de deux mètres environ à moins de vouloir être dans une zone approchant des températures à la limite du supportable pendant environ deux minutes maximum.

Une louve du clan de l’été n’avait jamais pu trouver de partenaire à son goût parmi tous les prétendants qui lui avaient fait la cours. Ce n’était pas qu’elle soit snob en pensant qu’aucun d’eux n’était fait pour elle, mais elle craignait qu’aucun ne l’aime pour ce qu’elle était réellement. Après tout, sous son charme apparemment naturel vu le nombre de demande qu’elle avait eu depuis qu’elle avait l’âge de se reproduire, elle avait un caractère très fort qui pouvait rebuter n’importe qui. Elle savait qu’elle n’était vraiment pas facile à vivre et sa gentillesse la poussait à ne pas vouloir blesser les autres par maladresse. Peut-être est-ce pour cela qu’elle tomba sous le charme malgré elle d’un loup solitaire au pelage noir et au caractère explosif. De cette union peu commune naquit une jeune louve aussi noire que son père aux ailes blanches comme celles de sa mère. Légèrement petite plus petite que la moyenne, elle n’eut pas un regard très bienveillant par le mâle qui partit très rapidement, laissant sa femelle dans le clan de l’été qui l’avait vue naître. Il était, pour lui, hors de question de garder un petit n’aillant sans doute aucun avenir et une femelle aussi têtue qu’une mule mal lunée.

Ainsi, Ondolindë vit le jour dans ce clan de la saison chaude. Fine mais de moins en moins chétive, elle grandit sous la tutelle de sa mère. Cette dernière se montrait très sévère dans l’éducation de son louveteau, ce qui était fait pour son bien même au détriment des gestes d’amour qui lui étaient demandés. La jeune louve noire regrettais ces moments de complicités qu’elle voyait dans les autres familles, et cela lui apprit à mieux les apprécier quand ceux-ci arrivaient. L’absence d’un père ne se fit jamais réellement ressentir étant donné qu’elle n’avait pas le temps de paresser plus que cela. Ainsi, de plus en plus, elle vint à aimer à pratiquer cette activité interdite. Ce n’était pas pour autant qu’elle n’aimait pas apprendre, bien au contraire : cela lui permettait de connaître toujours plus d’éléments qui lui permettraient d’aider les autres, d’être utile au clan…

- Tu es bien contradictoire ma fille, lui disait souvent sa mère sur un air de reproche.

Ondolindë pensait alors très fort, ne pouvant le dire à voix haute, qu’elle devait bien tenir cela de quelqu’un. Puis, d’un autre côté, comme cela allait bien avec son pelage contredisant la couleur de ses ailes, elle finit par être fière d’être un semblant de paradoxe.

Finalement, quand vint enfin le temps pour elle  d’être apprentie, elle ne sut que choisir entre les différents rôles à occuper dans le clan. Bien entendu, il lui restait bien du temps avant qu’elle ne doive faire un choix définitif, mais elle aimait y réfléchir en pensant à ce qu’elle pourrait alors faire pour le bien de sa meute.

Cela s’est passé peu après avoir atteint l’âge de l’adolescence. C’était le matin, juste un peu avant le lever du soleil. Je n’avais pratiquement pas fermé l’oeil de la nuit tant je me sentais excitée. Pourtant, j’avais été la première à vouloir dormir toute la journée la veille. La raison à ce petit paradoxe dont j’étais la reine était très simple : il s’agissait de ma première journée en tant qu’apprentie. En plus de cela, j’avais un choix très important à faire que je ne parvenais pas à prendre. Dans quel domaine voulais-je faire mon apprentissage ?

La tête pleine de questions plus ou moins utiles, les yeux plissés par le sommeil, je me levai doucement pour ne pas réveiller ma mère qui se trouvait à mes côtés. Pendant une seconde, je me pris à l’envier de pouvoir dormir ainsi, à point fermé. je me repris cependant rapidement, sachant pertinemment qu’en temps normal elle serait déjà sur ses quatre pattes en train de se préparer pour la chasse. Ainsi, me concentrant sur mon but, je marchai tranquillement vers le point d’eau le plus proche pour me faire un brin de toilette après avoir plongé ma tête dans l’eau froide. Bien que je ne sois pas très convaincue que ce soit le meilleur moyen de se réveiller, je le faisais en espérant que cela fonctionne au moins un peu. Puis, de toute façon, j’avais besoin de me faire un brin de toilette après la journée de travail de la veille.

Une fois propre, mais toujours dans le brouillard concernant mon avenir très proche, je me dirigeai vers le garde manger pour me prendre un petit déjeuner. Comme il n’y avait pas de lapin dans les premiers gibiers à disposition, je me fis une raison et prit un oiseau à la place. Cela n’était pas aussi fameux que mon met préféré à mes yeux, mais il fallait bien que je me montre raisonnable pour le bien de la meute. Puis, je ne devais pas être la seule à apprécier ce gibier. Le partage avait du bon même si on ne le voyait pas toujours, j’en étais persuadée. Tout comme j’étais certaine que je voulais aider ma meute. Mais il y avait tellement de moyens de le faire : tous les rôles qui étaient proposés avait un but précis. Ma mère m’en avait fait la leçon de morale.

*Dans ce cas, la vraie question serait : “comment je veux aider mon clan ?”*

Des centaines de fois je m’étais imaginée en train de résoudre des conflits importants, de donner des conseils ou de simplement alerter les miens. Je ne voulais cependant pas avoir trop de responsabilités. Mes priorités étaient la sécurité de mes paires sans pour autant devoir aller spécialement sur un champs de bataille. J’avais horreur de la guerre… tout comme j’avais conscience de mes talents. Ces derniers n’étaient clairement pas dans la guérison ou la transmission du savoir.

Plus tard, quand je fus face à mon instructeur, la question fatidique me fut posée. Dans quelle voie voulais-je me diriger ? Je profitai alors de l’occasion pour poser quelques questions sur certains des rôles pour avoir des précisions ciblée avant de répondre avec conviction :

- Je souhaite devenir veilleur.

- Qu’est-ce qui t’a amenée à faire ce choix ?

- En protégeant les frontières, je pourrais veiller à la sécurité de la meute. Certainement qu’avec l’expérience que je gagnerais je pourrais être amenée à donner mon avis sur certains points et je pourrais avoir un oeil sur l’intérieur également. Pour moi, la sécurité du clan de l’été est une priorité et je pourrais la mener à bien en devenant veilleur.

Plus ou moins satisfait de ma réponse, mon instructeur commença la première leçon qu’il avait à me donner. Celle-ci dura la journée entière, me faisant rentrer auprès de ma mère, totalement épuisée mais contente d’avoir enfin donné un but réel à ma jeune vie.

T'as un nom toi ? Ryne, pour le surnom que je me donne souvent ;)
Ou peut-être un PUF ? J'étais autrefois connue comme étant Mychat. Entretemps, j'ai eu pas mal de surnoms qu'il serait trop long de tous les donner.
Âge : 26 ans cette année.
Comment nous as-tu trouvé ? Four Seasons est mon tout premier forum RPG ^^ Je ne saurais plus dire comment je vous ai trouvé après tout ce temps.
Tu te plais ici ? Je regrette un peu ma décision de partir et j'avais très envie de revenir avec un personnage mieux construit que ma première louve solitaire.
Autre(s) : J'espère que j'aurais à nouveau ma place parmi vous